lundi 4 avril 2011

Nouvelles en bref

  • Après des mois d’attente, les autorités se sont prononcées et n’ont pas accordé la location des locaux du 4e étage du Seujet. Mais où vont donc travailler les bibliothécaires du back office collection ? Sur leur site d’origine ? Et que deviendra alors cet élément central du projet de réorganisation des bibliothèques ? Un simple dépôt  des collections? Voilà qui comble notre désespérant besoin de ne rien changer…  
  • Lors d’une rencontre avec une association professionnelle, la directrice de la Division de l’information scientifique  a abordé un certain nombre de points. On apprend notamment que le mandat des coordinateurs est limité dans le temps et devrait s’interrompre à la fin 2011. En ont-ils au moins été informés?
  • Autre point évoqué lors de cette séance, le processus de mises au concours et les postulations qui en ont découlé. Si les candidats ont dû produire un CV, c’est parce que la DIS ne dispose pas des dossiers des bibliothécaires et ne connaît donc pas leur profil. On doit bien reconnaître qu’une grande partie du personnel étant en poste depuis une dizaine d’années, il n’est pas aisé de mettre la main sur leur dossier.
Toutes ces informations sont bien évidemment à prendre avec des pincettes, si vous estimez, à l’image de notre hiérarchie, que le syndicat pratique la désinformation.

15 commentaires:

  1. Le site du Seujet ne devait-il pas être la "pierre angulaire" du projet de restructuration ? On sait depuis longtemps ce qu'il faut penser de celui qui construit sa maison sur du sable...

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  2. Le site du Seujet comme "pierre angulaire", le référentiel comme "pierre managériale" et la macro-classification comme "pierre disciplinaire". Autant de pierres d'achoppement. Nous voilà bien.

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  3. Les administrateurs des facultés devraient avoir nos dossiers RH... où sont-ils aujourd'hui??? L'administrateur de la DIS s'en est-il seulement inquiété? On est en droit de se demander où sont nos dossiers personnels aujourd'hui. D'autant plus quand on sait avec quelle désinvolture les RH de l'Unige ont "laissé passer" le contenu des cahiers des charges, cela n'est pas pour nous rassurer quant au bon fonctionnement de l'Unige.

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  4. Il a été communiqué : "les coordinateurs ont été nommés sur recommandation des responsables de site pour la durée du projet (-> fin 2011)" et non que les coordinateurs avaient des mandats à durée déterminée. Se battre pour nos droit est légitime. Néanmoins, prenons garde de ne pas "interpréter" dans le sens qui stimule la colère qui est très mauvaise conseillère. On nous a prodigué beaucoup de mauvaise foi! N'agissons pas de même!

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  5. Désavoué par le personnel des bibliothèques, désavoué par la Commission des pétitions du Grand Conseil, désavoué par l'Assemblée de l'UniGe, désavoué maintenant par la DCTI... A qui le tour ?
    Ce projet prend l'eau de tous côtés. Comment redonner notre confiance à ceux qui l'ont élaboré si légèrement ?
    Démission !

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  6. Château de sable en Espagne qui va s’écrouler à la première marée… d’ailleurs n’est-ce pas déjà le cas ? Absence réitérée du pilote, démotivation générale, couplet sur l’esprit d’équipe ânonné sans conviction, cette réorganisation ne prend pas l’eau, elle meurt de sa belle mort prévue depuis plus d’une année (Analyse SES signée, à l’époque, par une majorité des responsables de site… où sont-ils maintenant ? Pour rappel, cette analyse annonçait la perte sèche sur investissement si le projet du site Seujet ne voyait pas le jour, c'est le cas !). Il s’agit de Chronique d’une mort annoncée, mais pourquoi autant de faiblesse de gouvernance ? Peut-être que l’équipe de direction n’a pas les compétences nécessaires et le consultant encore moins ? C’était tellement prévisible, qu’il est incompréhensible d’avoir voulu tout de même avancer malgré tout, sauf si l’idée de faire capoter cette restructuration d’envergure était le but en soi !

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  7. Voici l'extrait ad hoc du texte d'analyse SES cité dans le message du 6 avril, 9h28.
    Ce texte date du 26 avril 2010. Savoureux (aigre-doux...), non ?

    "3 - Les soucis de nature financière

    - Le projet d’un 5ème site (Bibliothèque du Seujet), est une des pierres fondamentales de la réforme. Si pour une raison une autre (ex. manque de budget, opposition, recours...), ce projet ne voyait pas le jour, le temps investi par les parties-prenantes à partir du 1er mai 2010 constituerait une perte sèche.

     Afin de ne pas courir ce risque, nous considérons qu’il serait sage de n’engager aucun processus de changement avant de savoir que la mise en place de ce 5ème site est assurée."

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  8. Ces avertissements très prudents n'étaient que des effervescences de nos angoisses irrationnelles face aux changements. Voilà ce que la direction nous répondait et continue à nous répondre encore et encore. Quelle incompétence, mais quand voudront-ils bien nous entendre?

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  9. Le 4e étage du Seujet n'a pas été obtenu par la direction de la DIS, non pas par abandon du projet de la part des autorités, mais plus simplement parce que le propriétaire s'est lassé d'attendre l'accord du DCTI. Le responsable des bâtiment de l'unige est chargé de trouver un plan B et le rectorat est confiant.
    C'est sûr, trouver un autre dépôt de la taille du DBU ou d'autres bureaux tout proches d'icelui à un prix abordable, il y a de quoi rester confiant.

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  10. Peut-être que le DCTI attendait un dossier compréhensible et cohérent de la part de la DIS avant d'entrer en matière...

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  11. Tout comme nous attendons un projet compréhensible et cohérent de la part de la DIS avant d'y adhérer...

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  12. Quelles qu'en soient les raisons, ce énième épisode est tout à fait symptomatique de la manière dont ce "projet" est mené depuis le départ... seule différence : à présent, c'est de notoriété publique !

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  13. C'est le DCTI le responsable de la non affectation du 4ème étage, le responsable des bâtiments UNIGE sommé de trouver une solution B. Et la direction DIS est responsable de quoi?

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  14. La direction DIS est responsable du grand chaos au sein des bibliothèques et de la démotivation à 200 % du personnel. Les balourdises du Rectorat en binôme avec les "maladresses" de la Directrice n'ont pas amélioré la vision de la réorganisation . Est-ce que la Directrice a la capacité de se remettre en question ou est-elle, la aussi, incompétente ?

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  15. Dire que "Pour le rectorat, ce consultant a efficacement travaillé, notamment afin d’évaluer les besoins d’agrandissement du site du Seujet."... (Rapport de la Commission des pétitions, p.4)

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