Souvenez-vous : il y a bientôt une année, la directrice de la DIS et la vice-rectrice dévoilaient le projet de réorganisation structurelle des bibliothèques. La présentation était corsetée dans un power point égrenant tableaux et graphiques censés appâter le chaland.
Ce dit « modèle de référence » de mai 2010 est devenu la vulgate qui a été présentée non seulement au personnel des bibliothèques mais aussi à l’Assemblée de l’Université, aux Doyens, aux Conseils participatifs et sous des formes plus condensées à la DINF notamment. Son but était de convaincre l’ensemble de la communauté universitaire du bien-fondé de ce projet.
Or que contient cette présentation ? Un gros mensonge. Le document fait croire que pour motiver cette restructuration, pour la fonder, une analyse des besoins des usagers a été effectuée. La diapositive 2 mentionne : « Les usagers au travers des benchmark » et la diapositive 7 présente un diagramme bidon évaluant la perception des services par les usagers des bibliothèques de l’Université.
Ce mensonge de la Direction de la DIS est grave car, en deux diapositives, il a court-circuité la question que les membres des différentes instances auxquelles le projet a été présenté n’auraient pas manqué de poser : avez-vous effectué une analyse des besoins des usagers ?
Cette question a resurgi presque une année plus tard, bien trop tard, et a été posée par le Prof. Martin Tramer lors l’Assemblée de l’Université du 16 mars 2011, et la Vice-rectrice a répondu un misérable « non » et rajouté, phrase qui a provoqué l’ahurissement de l’Assemblée et qui pourrait obtenir le Champignac de la restructuration, que « l’analyse des besoins se ferait après coup ».
Cette question a resurgi presque une année plus tard, bien trop tard, et a été posée par le Prof. Martin Tramer lors l’Assemblée de l’Université du 16 mars 2011, et la Vice-rectrice a répondu un misérable « non » et rajouté, phrase qui a provoqué l’ahurissement de l’Assemblée et qui pourrait obtenir le Champignac de la restructuration, que « l’analyse des besoins se ferait après coup ».
On peut qualifier de faute grave le mensonge de la Direction de la DIS. La résolution adoptée par le personnel des bibliothèques demande la démission de la Directrice de la DIS ; n’y aurait-il pas matière à licenciement ?
Il s'agissait certainement d'une énième "maladresse". "Analyse des besoins des usagers" et "mise au concours", par exemple, sont des termes extrêmement fluctuants, dont la définition varie sans cesse, non?
RépondreSupprimerEspérons que d'ici au 17 avril, le recteur prendra les décisions qui s'imposent!
La seule question qui se pose: les auteurs de la démarche de restructuration avaient-ils vraiment envie de lancer une démarche "ouverte" et basée sur des besoins, ou le besoin n'était que celui d'une restructuration, quelle qu'elle soit ?
RépondreSupprimerDans ce cas, lorsqu'une structure pratique des principes de gestion qui relèvent de la "mode idéologique" du moment, toute étude des besoins représente un risque mortel pour la démarche ! Donc il ne faut SURTOUT PAS faire une enquête de besoins préalable !
Dans ce cas de figuret, la réponse de la vice-directrice se comprend: mettre la charrue devant les boeufs n'est pas un problème, vu qu'on VEUT faire cette restructuration Mais comme il faut bien, au préalable, "vendre" sa réforme, on ne peut pas se passer de l'étape indispensable qu'est l'identification de problèmes à résoudre, quitte à les inventer plus ou moins.
Il s'agira seulement ultérieurement, au mieux, de la faire valider par une enquête qu'il sera facile de manipuler, puisqu'on est déjà parvenu actuellement à l'inventer puis en produire un tableau des résultats...
Il faut mettre un mot sur la "mode idéologique du moment" : le CYNISME. Et le cynisme n'a rien à faire à l'Université. Exit les cyniques.
RépondreSupprimerEt n'oublions pas les nombreuses allusions de la DIS au sujet de l'audit, qu'on nous interdisait de consulter. Audit qui s'est avéré, après consultation, très partiel et incomplet pour devenir un document de travail de base pertinent dans le cadre d'une restructuration de cette ampleur.
RépondreSupprimerLa DIS ment, manipule à tout va, nous joue la grand scène du 3. Avec l'appui du Rectorat.
Et maintenant la DIS et ses amis veulent que nous collaborions à la mise en place des services en souriant.
Sans respect et sans une vraie mise à plat des responsabilités du Rectorat, réinstaurer la confiance sera impossible.
Pourquoi la DIS et le Rectorat mentiraient-ils ?
RépondreSupprimerPourquoi tant de haine ? Pourquoi déverser des flots de ce qui commence à ressembler à de la diffamation au lieu d'interroger les personnes qui ont pour mission de porter le projet voulu par le rectorat et non de les prendre comme boucs émissaires responsables de tous les maux de cette université ?
Quelques précisions sur ce qui est injustement qualifié de mensonge:
> 1er point : la réorganisation ne remet pas en cause la qualité des services rendus par les bibliothèques et les bibliothécaires. La réorganisation s'intéresse à la manière dont sont organisés ces services.
> 2ème point : le benchmark cité page 2 ne porte pas sur les services mais sur les aspects "logistiques" (surfaces à disposition pour les usagers, nombre de places étudiants), de RH (nombre de bibliothécaires au regard du nombre d'usagers) et du montant alloué à la Bib. par l'UNIGE. A aucun moment il n'a été question d'évaluer la qualité des services rendus, ni d'émettre des critiques sur ces services.
> 3ème point : la grille présentée page 6 sur les services n'évalue pas le niveau (la qualité) de services mais le niveau de couverture des services disponibles à l'UNIGE. Encore une fois, il n'a jamais été question de remettre en cause la qualité de ces services.
> La diapo. 7 n'évalue pas à nouveau la qualité des services mais les "lieux" (et donc des personnes) où sont rendus les services. Pour exemple, le TECFA fait des formations à la recherche des sources bibliographiques ou encore des MER font fréquemment des recherches bibliographiques et/ou des aides à la publication pour les enseignants. Encore une fois il ne s'agit pas d'un jugement de la qualité des services rendus dans la bibliothèque mais de "Qui" rend ces services qui pourraient être rendus par la BIB. et qui ne le sont pas ou qui le sont de manière diffuse (d'où la notion de services diffus ou complémentaires). C'est la même chose pour les archives académiques. C'est, à l'heure actuelle, un service très peu rendu par notre division mais qui est rendu par d'autres entités comme par exemple la Copaf (FPSE). On peut parler d'un service diffus dans la mesure où la perception, si on interroge un usager, de "Qui porte ce service dans l'UNIGE" serait probablement proche de 0/10 pour la DIS....
Ces constats vont donc tous dans le même sens à savoir remettre le "périmètre" au bon endroit en exprimant tout haut qu'il existe des compétences dans la bib. de l'UNIGE et qu'elle pourrait rendre plus de services qu'elle n'en rend actuellement pour autant que nous nous organisions et que nous ayons une vraie visibilité des compétences des bibliothécaires et archivistes. C'est ce que le projet à commencer à faire en nommant de manière explicite les spécialistes de disciplines. C'est ce que le projet voudrait aussi faire pour tous les autres collaborateurs de la bibliothèque. Chacun-e a des compétences qu'il convient de mettre en lumière afin de donner une plus forte visibilité des compétences existantes à tous nos usagers.
C'est cela le premier objectif du projet de réorganisation. Il est regrettable que quelques personnes dénigrent tout cela et donne aujourd'hui une si mauvaise image de notre bibliothèque.
La diffamation ne date pas d'hier mais n'a jamais fait avancer l'humanité. Platon le dénonçait déjà : "La perversion de la cité commence par la fraude des mots".
Elle ne fera pas non plus avancer la cause de la bibliothèque de l'université de Genève et cela sera à terme bien regrettable pour chacun-e d'entre nous.
Véronique Hadengue
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RépondreSupprimerFraude des mots ? Par qui ? Qu'est-ce qu'une maladresse ? Une erreur se pardonne, une faute se corrige. Comprendre la critique est une preuve d'intelligence, adapter sa vision permet d'entreprendre de grande chose. Accusez autrui de sa propre incompétence, c'est petit et ne rétalbira pas la confiance !
RépondreSupprimerCe qui est simple s'énonce simplement ! Que de blabla pour ne rien dire... franchement, je n'ai pas réussi à la lire la totalité de ce commentaire insipide et justificatif, c'est un peu comme le référentiel : une "usine à gaz" !
RépondreSupprimer"Une si mauvaise image de notre bibliothèque"? Bien au contraire! Au travers de ce blog et de leurs diverses actions, les bibliothécaires de l'Université démontrent depuis une année que le service public leur tient à coeur et que leur but est d'offrir aux usagers une meilleure bibliothèque.
RépondreSupprimerNos postes ne sont pas menacés, les cahiers des charges ont été aplanis, le processus de postulation abandonné en catimini. Pourtant, nous continuons à nous battre contre un projet qui ne cesse de prouver à quel point il est mal conçu et mal ficelé.
Il y a une année, la majorité des responsables de site signaient un document émettant leurs réserves. Certaines de leurs craintes s'avèrent désormais justifiées. Et certaines de leurs propositions, comme la consultation d'un expert-métier, sont en passe d'être acceptées, une année après!
Alors si quelqu'un donne une mauvaise image de la bibliothèque, ce ne sont pas nous, simples bibliothécaires, mais vous, notre hiérarchie.
Madame,
RépondreSupprimerJe suis extérieure à l'Université et suis ce blog depuis quelques semaines. Votre commentaire m'a étonnée. Où pouvez-vous voir de la haine ? Je me suis attachée à ce blog (et je vois que je ne suis pas la seule !) justement parce qu'il est joyeux, inventif, impertinent je vous l'accorde, et de très bonne tenue. Je vous suggère d'aller voir d'autres blog tenus par des employés mécontents, là vous trouverez de la haine. Les commentaires qui suivent le vôtre sont d'ailleurs devenus plutôt ... aigres et cela serait dommage que ce blog prenne cette tournure !
Je vous adresse mes meilleures salutations.
Violaine Schwartz
…au lieu d'interroger les personnes qui ont pour mission de porter le projet voulu par le rectorat…
RépondreSupprimerMadame, nous avons essayé mille fois de vous dire…, d’interroger. Nous avons été nombreux à nous faire recaler sèchement. C’était votre rôle de transmettre au Rectorat nos questionnements, nos avertissements. A ce que je sache, le Rectorat n’a pas de compétences en bibliothéconomie, ni en archivistique. Une directrice n’est pas la marionnette de ces supérieurs, elle entend les personnes qu’elle dirige et elle transmet les doutes et les interrogations.
Je n’ai entendu que des ordres : « vous devez nous faire confiance, vous devez avoir de la patience. Et bien non, on n’a plus de confiance, on n’a plus de patience
Il suffirait d'une "séance d'explication" pour convaincre Mme Hadengue que la diffamation n'a pas sa place dans ce blog.
RépondreSupprimerSi des discussions se tiennent ici, c'est peut-être parce que l'expression n'est pas possible ailleurs. Au vu du nombre de connexions, il ne s'agit pas de "quelques personnes", et l'objectif n'est ni le dénigrement, ni la diffamation. Les critiques sont fondées et les arguments rationnels, je n'y vois pas de haine.
Les seules réponses de la DIS et du Rectorat sont des "séances d'explication". Si les professionnels critiquent c'est nécessairement et exclusivement parce qu'ils ne comprennent rien. On ne peut exclure qu'il se trouve quelques bibliothécaires à l'intelligence modérée, mais on doit aussi, parmi eux, trouver une proportion non négligeable de personnes compétentes, motivées et qualifiées. Après tant d'explications, comment se fait-il que le projet apparaisse toujours aussi creux et mal mené ? La direction de la DIS ne se remet jamais en cause, soutenue systématiquement par le Rectorat. La seule conclusion possible, est qu'on peut avoir raison contre le monde entier. Sachons donc l'admettre.
Sans même tenir compte du mal-être et de la démotivation qu'il est maintenant difficile d'ignorer, l'Unige ferait bien d'enfin ouvrir les yeux sur certains indices inquiétants. Un simple décompte suffirait :
- Combien des départs anticipés à la retraite ?
- Combien des démissions ou de tentatives pour quitter l'Unige ?
- Combien de maladies ?
Il est tout à fait clair la direction de la DIS est irréprochable : son projet est parfaitement construit et cohérent, il suscite l'adhésion, voire l'enthousiasme. Quant à la manière dont la restructuration est menée, les mots qui viennent spontanément à l'esprit sont : force de conviction, qualités relationnelles et humanité. De cela, nous sommes d'accord.
Mais alors, si les bibliothécaires ne sont pas tous des buses et si la direction de la DIS n'est en aucune manière en cause, d'où viennent toutes les difficultés ? Je m'interroge... On saura bien nous l'expliquer.
"en nommant de manière explicite les spécialistes de disciplines" -> une telle liste est-elle à disposition de la communauté académique? où?
RépondreSupprimer99% des bibliothécaires préfèreraient à coup sûr faire des formations TECFA au lieu des séances "accompagner le changement". C'est que le TECFA a intégré les nouveaux outils informatiques dont nous avons besoin pour construire une bibliothèque tournée vers l'avenir. Qu'est ce que la DIS nous propose... des instances... allez comprendre...
RépondreSupprimerEnfin !
RépondreSupprimerS’il ne faisait aucun doute que Mme Hadengue lisait ce blog depuis sa création, ce n’est que trois mois plus tard qu’elle y intervient. Quitterait-elle sa tour d’ivoire ? Commencerait-elle à écouter le bruit de la rue ?
Est-ce de la haine que de critiquer un projet construit sur du vent (cf. le « centre névralgique » du Seujet), par des personnes étrangères au monde des bibliothèques ?
Est-ce de la diffamation que de constater que nous sommes dirigés par des handicapés de la communication, quand notre métier est justement basé sur la communication avec nos usagers ?
Est-ce du mensonge que de souligner de graves manquements aux règlements et pratiques en vigueur à l’Université ? De relever qu’on confond enquête auprès des usagers et consultation des normes ?
Depuis des mois, on cherche à nous imposer de façon autoritaire une réforme monstrueuse. On tente de camoufler par des discours et des powerpoints formatés « new public management » une montagne de maladresses, générées par une incompétence dont l’étendue nous étonne chaque jour davantage.
Les bibliothèques de l’Université sont actuellement dans un état lamentable. Le dysfonctionnement est généralisé, personne ne sait qui fait quoi, les tâches bibliothéconomiques ordinaires sont remplacées par d’interminables séances dans lesquelles l’information est à sens unique. Le personnel est démoralisé, atteint dans sa santé.
Le syndrome de Peter (Avec le temps, tout poste sera occupé par un incompétent incapable d'en assumer la responsabilité) est généralisé un niveau de la direction. Comment croire qu’un directeur de bibliothèque froid comme la tombe, dénué de toute humanité et incapable d’assumer ses responsabilités (présent « en tant que bibliothécaire » lors d’une réunion syndicale) aura les épaules et l’entregent nécessaire pour diriger le site Unimail ?
Nous pratiquons un métier de services. Des êtres humains s’adressent à d’autres êtres humains dans le but de satisfaire ou d’anticiper leurs besoins. Pour cela, il faut de l’empathie. Avons-nous jamais entendu ce mot sortir de la bouche des Hadengue, Quellec ou Maillefer ? En connaissent-ils seulement la signification, eux qui ne comprennent même pas le sens du mot « dialogue » ?
Réformer, oui. Elaborer un service de qualité, oui. Le généraliser à toutes les bibliothèques de l’Université, oui et trois fois oui ! Mais pas avec les valeurs qui nous sont proposées (imposées !) L’équipe dirigeante actuelle a perdu toute confiance de la part de plus de 150 collaborateurs, et il serait illusoire de penser qu’elle puisse un jour la regagner. Si rien ne change à ce niveau, les bibliothécaires iront travailler à reculons et les meilleurs d’entre eux partiront dès qu’ils en auront l’opportunité. Il n’y a donc qu’une porte de sortie pour cette crise : la démission de l’équipe dirigeante. Mais en auront-ils le courage ?
Nous n'avons pas confiance en notre hiérarchie.
RépondreSupprimerNous l'avons dit à notre hiérarchie.
Nous l'avons dit lors des premières séances de formation sur l'accueil devenues rapidement "séances de thérapie de groupe obligatoires" (formation évolutive spécialement créée pour les collègues d'Uni-Mail, automne 2010).
Nous y avons posé des questions, nous avons fait des remarques. Madame Breuniger (la formatrice promue oreille filtrante) nous a promis de transmettre tout cela, qu'il y aurait des réponses de la DIS à toutes les questions, à toutes les remarques.
Madame Hadengue, vous êtes venue pour répondre à des questions, que vous avez choisies dans le lot, en commençant bien entendu par votre grande qualité : l'art de perdre du temps en ânonnant la genèse de la restructuration (voir powerpoint mai 2010). Puis prétextant un rendez-vous urgent vous êtes partie, empêchant le vrai dialogue. Vous savez, ce genre de manipulation se voit, on ne vous l'a jamais dit?
Depuis rien (à part : on va vous expliquer les petits, voyez le powerpoint de mai 2010. Encore?)
Nous avons dit notre malaise devant tant d'incohérence et de précipitation, et notre déception devant tant d'amateurisme et ce très rapidement.
Nous l'avons dit parce que nous aimons notre métier, et parce que notre employeur est avant tout le contribuable genevois !
Nous avons agi parce que c'est notre devoir. Et les réponses de l'Assemblée de l'Université, le Grand Conseil et des Conseils participatifs des Facultés de SES et Droit, nous ont écoutés, ils ont compris notre message.
Le site FAQ de la réorganisation existe depuis moins d'un mois et il n'est nourri que de vent: n'auriez-vous pas pu publier toute la matière récoltée en automne 2010 ?
Pourquoi préférons-nous nous exprimer sur ce blog ? Parce que la parole y est libre et comme il est lu par tous, il fait réagir, sans censure à craindre.
Pourquoi n'utilisons pas le site FAQ ? Parce que nous ne faisons pas confiance à un site géré par le Rectorat et la DIS.
Et maintenant, on nous demande différents scénarios d'organisation de service. Le choix final n'est naturellement aucunement concerté. La hiérarchie tranchera (osera-t-elle mixer les différentes propositions? Suspense !!!!! ).
Depuis fin 2009, nous travaillons tout simplement dans un climat d'insécurité et sans dialogue.
En attendant juin 2011...
Votre projet est un désastre parceque vos compétences ne sont pas à la hauteur (méconnaissance du milieu, de ses règlements et de ses usages, étude de faisabilité inexistante ou erronnée, manque de rigueur, aventurisme, ...)
RépondreSupprimerVotre gestion du personnel et de ses critiques légitimes est désastreuse parceque vos qualités humaines ne sont pas à la hauteur (autoritarisme, mépris, tendance à la manipulation, ...)
En refusant de reconnaitre vos erreurs (à peine quelques maladresses), vous avez perdu toute légitimité. Nous ne voulons plus collaborer avec vous.
Partez ! Laissez-nous travailler !
Et de rajouter :
RépondreSupprimer"Dans votre ascension professionnelle, soyez toujours très gentil(le) envers ceux que vous dépassez en montant. Vous les retrouverez au même endroit en redescendant."
Woody Allen
J'aimerais ajouter un second témoignage "du dehors": je lis avec intérêt et étonnement votre blog, alors que je ne suis pas concerné du tout par cette "réorganisation": nulle part, dans aucun autre blog de ce genre, je n'ai pu suivre un débat aussi passionnant, d'une telle tenue, avec tant d'acharnement à défendre une éthique, une profession, une institution: chapeau bas, et avertissement à la direction: vu de l'extérieur, il est très difficile d'imaginer qu'une telle direction n'ait rien à se reprocher et raison contre tout le monde, surtout lorsque les observations précises convergent, que les reproches sont argumentés, et qu'on ne voit aucune réponse sérieuse venir de la partie adverse...
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