Ailleurs aussi, le temps est à la restructuration. Les bibliothèques de l'Unige ne sont de loin pas les seuls lieux d'expérimentation de la nouvelle gestion des services publics, comme le démontre la chronique de Julie Clarini diffusée hier sur France Culture, intitulée La poste et le BRASMA.
Le néo-management appliqué à l'Université de Genève va sans doute entraîner la disparition d'une bonne partie de nos collections en libre-accès. Pourtant, le livre est plus que jamais plébiscité, comme le démontre avec humour cet article paru dans le New York Times et cette vidéo.
Harry Campbell |
Les processus mortifères, les formalisations à tout va de la DIS ont déjà provoqué pour nous ce que le BRASMA a provoqué à la Poste : le brouillage complet de notre identité professionnelle.
RépondreSupprimerhttp://s3.archive-host.com/membres/up/741135287/BLOG/standards_de_serviceCDSP_16oct08.pdf
RépondreSupprimerLe powerpoint du 17:55 est très similaire à celui de la DIS de mai 2010, en plus précis tout de même. Et comment se fait-il qu'on ne nous ait parlé du BRASMA lors de la formation sur l'accueil ? quelle lacune pour une formatrice qui a été libraire et qui devait donc aussi pratiquer la méthode OQQ. Pour savoir ce que cela signifie, lire la thèse sur le même sujet: http://www.ergonomie-self.org/documents/37eme-Aix-en-Provence-2002/leduc.pdf
RépondreSupprimerHé hop, la transformation du bibliothécaire en guichetier/ère ! Quelle évolution du métier.
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