Souvenez-vous, début 2011, des premières séances sur sites menées par le rectorat. Animées par Mme de Ribaupierre ou M. Veuthey (disparu de la surface de la restructuration quelques semaines plus tard), accompagnés du responsable du site concerné et de représentants des ressources humaines, ces rencontres n'ont été que des séances-alibi visant à rassurer nos soutiens politiques et académiques. A questions claires et précises, réponses vagues et langue de bois qui auront eu pour seul mérite d'alimenter notre Prix Champignac de la restructuration.
Suite à notre dernière résolution dénonçant une fois de plus le manque de transparence et l'absence de processus participatif, le rectorat a pris une série de mesures. La première est la plate-forme questions/réponses. Nous aurions souhaité un outil interactif, à l'image du forum aujourd'hui moribond décrit dans ce commentaire. A la place, on nous propose un outil figé, au contenu filtré, dont la dernière mise à jour date d'il y a exactement un mois.
Et la deuxième mesure se résume donc à une nouvelle série de visites sur site. Nous doutons fortement qu'il y ait quoi que ce soit d'intéressant ou de concret à retirer de ces séances et encourageons nos collègues à signifier leur désapprobation en ne participant pas.
Nous l'avons encore répété le 1er mai : pas de restructuration sans concertation!
Ok pour moi. J'irai PAS !
RépondreSupprimerDire qu'on a osé nous écrire : "Quelquefois les échanges oraux sont plus productifs que les questions/réponses écrites."
RépondreSupprimerJustement parlant d'échanges oraux, quelqu'un a tenté les permanences dans le bureau de la vice-rectrice? J'aimerais bien être une mouche pour savoir ce qui s'y passe...
RépondreSupprimerJe n'irai pas non plus. Assister à une telle mascarade n'est qu'une perte de temps!
RépondreSupprimerJe suis solidaire, je n'irai pas !
RépondreSupprimerBoycottons ces séances!
RépondreSupprimerUne partie du personnel des bibliothèques a élu des délégués syndicaux pour les représenter en toute légitimité.
RépondreSupprimerCes délégués sont des collègues qui connaissent les dossiers. Ils sont des représentants de valeur et de confiance.
Allons-nous perdre notre temps à poser vingt fois les mêmes questions (alors que d'une séance à l'autre, je ne suis pas sûr que les réponses soient les mêmes)?
Pour ma part, j'irai pas non plus.
Moi non plus.
RépondreSupprimerPourquoi les responsables de sites n'informent-ils pas leur personnel? La dernière séance sur Unimail a eu lieu le 17 février 2011...
RépondreSupprimerY a-t-il un pilote dans l'avion ?
RépondreSupprimerManifestement pas ! A moins ... qu'il faille être aveugle et sourd pour accéder aux plus hautes fonction de l'alma mater...
Nous pourrions nous cotiser pour offrir un équipement adapté :
http://www.youtube.com/watch?v=Kz1AQ4dqxgA
(Même les aveugles peuvent communiquer!)
A défaut de vue et d'ouïe, avant de continuer à utiliser aveuglément la parole, il reste le toucher et et le gout à exploiter...
Venez donc palper et gouter les bibliothèques avant vos prochaines séances.
Depuis le début de ce processus de restructuration, je suis traitée comme si j'avais 6 ans...
RépondreSupprimerZut, je ne pourrai pas aller à la séance d'info. J'ai l'orthodontiste et un anni chez McDo.
Au lieu d'une séance Boy scout: BOYCOTT !
RépondreSupprimerNon aux séances de lobotomisation. On voit bien dans quel état de ramolissement de l'esprit critique se trouvent les responsables de site, ayant dû subir un triple gavage : celui de la propagande De Ribaupierre, couplée à celle de Quellec et enchâssée dans celle de Hadengue.
RépondreSupprimer(avec la voix de Julien Lepers)
RépondreSupprimerSorti en 1975, je suis un film américain réalisé par un grand monsieur du cinéma d'origine tchécoslovaque. Mon rôle principal est interprété par l'un des acteurs les plus primés aux Oscars. Adapté d'un roman paru en 1962, mon titre fait référence au terme anglais désignant aussi bien un oiseau qu'une personne mentalement dérangée...
Je suis ?
It's time to show you Love your Library and the Librarians. Here's a Love your Library pic you can use for that. Post it, remix it, show it, shout it, make some noise and if you think this has become a political issue, become a Library Advocate and use this banner .
RépondreSupprimerMoi j'irai, les coordinateurs me disent de faire tout comme avant, même le responsable de site. Alors que tout a changer. Mme de Ribaupierre va pouvoir me dire.
RépondreSupprimerNous avons le devoir d'objecter. Et cela pour le bien de l'Université et de ses bibliothèques. Plusieurs professeurs, parlant de ce calamiteux projet, me l'ont dit d'ailleurs : vous ne pouvez pas accepter, vous devez résister, vous avez un devoir de désobéissance.
RépondreSupprimerMme de Ribaupierre ne sait rien, nous l'avons constaté lors des précédentes séances. Elle déroulera son habituel laïus, mais n'a à juste titre, aucune connaissance de notre métier. Si comme elle le prétend, l'expert bibliothèques est Madame Hadengue, ce serait à elle de mener ces séances. Boycottons tant que Mme Hadengue n'a pas le cran de venir nous affronter!
RépondreSupprimerEn attendant, si les apprentis sorciers d'Uni Mail pouvaient cesser leur travail de sape (pas de communication, pas de respect puis "on va tous travailler ensemble"...).
RépondreSupprimerCa nous reposerait en attendant le résultat de négociations maintenant nécessaires entre nos représentants et le rectorat.
Vauban a voulu faire de la France un pré carré entouré de citadelles : c'est ce que veut faire de Ribaupierre avec les bibliothèques de l'Unige. Après le "merde à Vauban" de Brassens, il faut entonner un tonique "merde à de Ribaupierre" !
RépondreSupprimerJe ne participerai pas. D'ailleurs le verbe "participer" ne convient pas du tout à ce genre de séance.
RépondreSupprimerJe ne subirai pas.
Il faut songer au Bartelby de Melville et opposer aux injonctions de la DIS et de la vice-rectrDIS un imperturbable : « I would prefer not to ».
RépondreSupprimerOn n'en veut plus (de ces séances stériles) car on en veut beaucoup plus (des bibliothèques joyeuses)!
RépondreSupprimerMême si j'ai peur d'être licenciée je n'irai probablement pas.
RépondreSupprimerJe suis en poste depuis peu mais n'ai jamais vécu des conditions de travail si dégradées. Je n'irai pas.
RépondreSupprimerJ'hésite entre ne pas aller et quitter la séance en cours de route si elle se déroule comme les précédentes. Du fait que la Direction mentionne régulièrement les séances pour affirmer qu'elle communique, il me semblerait utile de démontrer le plus explicitement le plus concrètement possible comment ils se moquent de nous lorsqu'ils s'adressent à nous. Ne simplement pas venir peut leur donner l'occasion de dire que c'est nous qui refusons le dialogue...
RépondreSupprimerBoycott organisé ou pas, je n'irai pas non plus : à ce stade-là, ce n'est plus de l'information.
RépondreSupprimerAi informé un chef de site lors d'une discussion informelle de l'inutilité de ces rencontres avec AdR, que c'était une perte de temps et d'énergie, que toutes les questions avaient été posées et que nous attendions toujours des réponses précises. Autant d'effet que de l'eau sur un canard !!
RépondreSupprimerPetit rappel pour les frileux en ces temps de canicule. Le recteur et la vice-rectrice ont, à plusieurs reprises, assuré le maintien des postes... il est vrai qu'un petit mot était également ajouté "globalement", m'enfin il sera tout de même compliqué de licencier un bibliothécaire au vu des protestations venant de tout bord ! Ceci est valable pour les bibliothécaires, les coordinateurs sortis de nul part, les responsables de site... donc fi de vos angoisses ! Etre présent c'est valider l'alibi de la communication, pensez-y avant de perdre votre temps et votre dignité.
RépondreSupprimerAutre petit rappel: lors d'une précédente restructuration le Rectorat d'alors s'était à plusieurs reprises engagé par écrit à replacer l'ensemble du personnel déplacé. Au final il n'en n'a rien fait, les personnes concernées se sont trouvées sur contrat temporaire avec pour consigne de se chercher elles-mêmes un nouveau poste, les postulations hors Université étant encouragées...
RépondreSupprimerDonc c'est bien que l'engagement de maintenir tous les postes ait été pris, ce n'est pas forcément un absolu.
C'est pour cela que je pense indispensable de maintenir la pression et de traiter ces séances comme elles le méritent, par le mépris.
De Ribaupierre s'est trouvée face à seulement 4 personnes ce matin aux Bastions. Suivez l'exemple de nos collègues de lettres et boycottez!
RépondreSupprimerEt à Uni Mail le 18 mai, pour la tournée rectorale, il y avait plus de gens "sur scène" que dans le public composé du chef de site et d'un membre de la coordination. AUCUN collègue !
RépondreSupprimer