mardi 6 septembre 2011

A consultant novice, restructuration calamiteuse

Un article paru dans Le Matin de ce dimanche (4 septembre 2011) a retenu toute notre attention. La restructuration de l'Office des migrations y est dépeinte et les parallèles avec notre propre situation sont extrêmement nombreux, comme par exemple:
  • un consultant novice dans le domaine, mais dont l'engagement engendre des coûts faramineux (600'627 francs pour la société Rexult, combien pour Team2Act?);
  • l'obligation pour plus de la moitié des employés de repostuler si ils souhaitaient conserver leur poste;
  • exode massif des cadres, perte de compétences;
  • malgré le licenciement du directeur de l'Office, la situation sera difficile à rétablir, car le mal est déjà fait.

 Office des migrations et bibliothèques de l'Université de Genève, même combat!

35 commentaires:

  1. "le mal est déjà fait". Pour nous aussi "le mal est déjà fait". Comment va-t-on pouvoir s'en sortir. Malgré la commission tripartite rien n'a changé, nous sommes démotivés et nous le restons, heureusement que le blog a de nouveau pris un peu de tonus...

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  2. On a licencié le directeur. Qu'attend-on pour prendre une telle mesure à l'UNIGE ?

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  3. La semaine dernière, notre administrateur a donné sa démission. Il fait partie du comité de direction, c'est quand même quelqu'un d'important dans la nouvelle structure. Alors pourquoi l'apprend-on par bruit de couloir ?

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  4. Après Hennequin, démission ou limogeage d'Hadengue. Il faudrait que Bulat Chagaev rachète l'Université de Genève et commence par faire le ménage à la DIS Dufour.

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  5. Nous devons apprendre la patience. La rédaction de la newsletter (organe de communication officiel de la DIS) prend du temps, il y a tellement de nouvelles passionnantes à enjoliver !
    Gageons pour un bel article d'adieu à Alexandre Hennequin pour le numéro spécial de Noël! Mais ce ne sera pas un scoop. Dommage! Radio-couloir, relayée par le blog ont donné l'info (toujours à gâcher les effets de surprise, ces canaux-là).
    Par contre, la prochaine newsletter pourrait donner les heures de visites dans les différents hôpitaux de la région pour occuper nos loisirs à voir nos collègues malades.

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  6. Les délégués doivent exiger que VHD porte à la connaissance de la commission tripartite les coûts occasionnés par le passage de Team2Act, affreux cabinet qui pourrait être renommé Quellecchymose.

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  7. Il m'est souvent arrivé de croiser d'anciens étudiants qui après l'uni trouvaient un premier job de consultant (il fut une époque de floraison des boîtes de consulting à Genève), même les étudiants de lettres étaient embauchés pour immédiatement consultinguer des boîtes de financement privées de la place. Les yeux neufs?

    Team2act a également oublié la mission principale de nos lieux de travail et profession (transmission d'information...pour faire court) pour se concentrer sur la révolution financière. Et voilà comment on se retrouve avec des budgets flottants, tronqués, attribués sur des constatations sans vision d'avenir (Economie beaucoup de livres parce que enseignée longtemps=beaucoup d'argent ; Etudes genre peu de livres(intéresse depuis peu)=peu d'argent (à part que les "Etudes Genre" sont appelées à se développer de façon exponentielle). Voilà on a eu aussi notre incompétent!!

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  8. Comme quoi il n'y a pas que les bibliothécaires qui craquent...

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  9. Mmes VHD et AdR ont tenu dès le début un discours négatif et dévalorisant sur le fonctionnement des bibliothèques de l'unige. VHD a, à maintes reprises, exprimé son manque de considération envers les bibliothécaires tandis que AdR pleurait sur son rêve déçu de ne pouvoir recréer sur Genève la bibliothèque de l'EPFL.

    Nous serions dans une boîte privée, où l'argent et les licenciements sont faciles cela se comprendrait. Mais là....

    Là, on a à faire à des employés, éduqués, stables, qui connaissent leur métier, leur Faculté et les domaines étudiés. On ne peut pas les virer facilement, ni augmenter le salaire de certains pour les motiver. Alors pourquoi lancer un projet pareil sans tenter dès le départ de s'allier les équipes ? C'est vrai que cela aurait pris plus de temps pour intégrer les changements, mais là, rien ne fonctionne et nombre de bibliothécaires sont démotivés, est-ce un bilan positif ?

    On le sait, le recteur soutient VHD, mais en la soutenant, il tourne le dos aux 150 autres personnes qui constituent le personnel de la bibliothèque de l'unige. Est-ce que le départ de l'administrateur ne constituerait pas une sonnette d'alarme suffisante à ses oreilles ?

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  10. EN VRAC, UN PETIT INVENTAIRE À LA PRÉVERT :

    Une interpellation au Grand Conseil.

    Une lettre ouverte signée par des citoyens.

    Une pétition en ligne transmise au Grand Conseil avec recommandation de la Commission des pétitions.

    L'intervention de Charles Beer auprès du Rectorat.

    Une recommandation au Rectorat de l'Assemblée de l'Université.

    Une grève des amendes.

    Un débrayage (2 heures).

    La mise sur pied d'une Commission Tripartite.

    Une couverture médiatique impressionnante.

    Des départs à la retraite anticipée.

    Des démissions en série.

    Des arrêts maladie...

    Une motivation des troupes atteignant le niveau de la Mer Morte...

    Et cette liste n'est pas exhaustive.

    Ce n'est plus une sonnette d'alarme, mais une véritable sirène d'alerte à la catastrophe...

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  11. Bon, Micheline l'a fait, au tour de Véro !

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  12. Micheline est peut-être plus consciente... moins dans les stratosphères médicamenteuses. Par ailleurs, sans polémique politique, Micheline a réussi quelques beaux coups, et a rendu visible de DFAE... alors que Véro n'a fait qu'exaspérer tous les professionnels, et mis de l'huile sur le feu à chaque fois, et est responsable de l'image de chienlit évoquée dans les média. Peut-être qu'un voyage en Corée du Nord serait une bonne manière de revoir sa copie et de relativiser son grand chantier... le SIEN, sous sa responsabilité, donc !
    Je voulais tout de même ajouter que la création de la Commission tripartite fut un désaveu TOTAL de Véro par le Recteur... ainsi que de la vice-rectrice, car toutes les deux avaient été tenues à l'écart et n'avaient pas un mot à dire (regarder à nouveau les signataires du Protocole !)... c'est donc pas si simple ! Il s'agit maintenant de trouver des solutions pour le mieux être de tous, sans continuer à se laisser manipuler par des tours de passe-passe du niveau des cours de récréation de l'école enfantine (tiens... c'est dans la discipline de Charles tout ça !) Ne serait-ce pas le tour des responsables de site de se positionner et de faire le nécessaire et parler de retraite bien méritée à notre cheffe paumée au milieu de toutes les questions restées sans réponse. Au fait, n'en attendez pas... il n'y en a pas et vous le savez !

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  13. Coup de gueule :

    J'en ai marre de cette ambiance délétère au travail.

    J'en ai marre des gens toxiques que tout le monde laisse faire (par crainte) parce qu'on perçoit du mépris violent dans leurs yeux.

    J'en ai marre de mon boulot devenu ennuyeux et démotivant.

    J'en ai marre que personne ne prenne ne serait-ce qu'une minute pour rassurer les troupes (Monsieur le Recteur, où êtes-vous ?).

    J'en ai marre de voir autour de moi des gens précieux qui craquent.

    Je sais, ma voix ne sert à rien, mais écrire ces "J'en ai marre" fait du bien.

    Moral des troupes : très très en dessous de 0.

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  14. ... et si vous aviez le pouvoir, par où commencer un changement et avec quels moyens, dans quelle direction mettre le cap, sur quels dossiers investir du temps et de l'énergie... et comment ? Des questionnements, nous en avons beaucoup, vu le manque de communication, les doubles discours, la méfiance, la culture du secret... tous ces fonctionnements indignes d'une Institution pluricentenaire. Mais quelle solution choisir pour avancer en respectant l'humain et pour normaliser la situation afin de ne plus avoir à en souffrir ? Cette souffrance n'a que trop duré, elle doit cesser IMMÉDIATEMENT. Je lance le débat... soyez créatif/ve comme vous l'avez toujours été jusqu'à ce jour.

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  15. Annuler les postulations qui ont été faites sur Unimail. De toute façon, la DIS n'a même pas répondu à la moitié du personnel qui a postulé.

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  16. Par où commencer dans le champ de ruines d'Uni Mail ? Plus de chef de site et ce n'est pas la cheffe par interim qu'on ne voit ni entend qui a les compétences pour organiser le chantier de reconstruction. Qu'attend-on ? N'existe-t-il pas en Suisse une personne avec les qualités requises pour reprendre ce

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  17. Une lettre signée par tous les Unimailiens(-2 et - ceux qui sont encore dans la peur)sur la situation aux ressources humaines ? Lettre demandant des médiateurs (plusieurs nous sommes beaucoup et les situations d'une zone à l'autre diffèrent un peu).

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  18. Faire cesser la souffrance. Ce projet ne se base pas sur l'humain mais sur un schéma commercial (et sûrement sans concertation avec les services comptables et autres concernés de l'Université de Genève).

    Il n'y a personne pour gérer humainement à Unimail (donc pas de changement depuis l'absence pour maladie du RESPONSABLE de site, la torture continue.

    Une autre constante : le manque complet de communication est toujours là (un ou deux messages de facture cosmétique qui ne répondent à aucune question latente).

    Le personnel est considéré comme un ordinateur ou un crayon. Nous ne sommes que des outils. Parler et partager avec des outils est superflu.

    Est-il exagéré d'en conclure que nous sommes gérés par des robots qui suivent le programme qu'on leur a enregistré dans leur mémoire (pas vive et incapables d'empathie par définition).?

    Ce genre de comportement fait peur, par conséquent, inconsciemment, nous tentons de nous protéger de ces cas en ne faisant pas trop de vagues. Et à la longue ils profitent de cette peur qu'ils inspirent pour asseoir leur soif pouvoir.

    Non, ce n'est malheureusement pas un délire ni une thèse conspirationniste. Nous vivons dans un climat très malsain psychologiquement.

    On tente de se tenir les coudes. On parle, on partage entre nous. Un psy pourrait en dire beaucoup.

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  19. Oui, je crois qu'il est de notre (bon) droit de demander de la clarté, de l'engagement et de la responsabilité de la part du haut de la pyramide.

    Nous sommes de bons petits soldats, mais cela ne suffit pas. Ce projet nivelle par le bas et au final, pour la rentrée nous allons assurer un service minimal.

    Quelles pertes !

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  20. Trois propositions :

    1- ressources humaines
    Etablir un rapport exhaustif de toutes les anomalies constatées depuis trois ans : démissions, conflits avérés, nombre de congés maladie, départs à la retraite anticipés, promotion sans mise au concours, mises au placard, etc. Exiger des statistiques des RH, et demander le soutien d'un syndicat ou d'une association professionnelle pour une mise en demeure envoyée au Rectorat et à la presse. Les chiffres parleront d'eux-même. L'employeur a des devoirs pour assurer la santé au travail et le bien-être des employés.

    2- compétences professionnelles
    Produire un rapport qui détaille des cas d'incompétence manifeste de la direction. Les exemples sont nombreux, qui montrent une inquiétante ignorance de certaines connaissances de base. Obtenir l'appui d'une association professionnelle pour la défense du métier.

    3- accès aux documents
    S'appuyer sur la Lipad pour obtenir la communication de documents et lever l'opacité dans certains domaines : "les documents sont tous les supports d’informations détenus par une institution contenant des renseignements relatifs à l’accomplissement d’une tâche publique" (Lipad art. 25, §1). La restructuration des bibliothèques est une tâche publique. Documents relatifs au recrutement d'un consultant, coûts engendrés, PV de séance plus ou moins occultes, etc.

    A de rares exceptions près, plus personne n'a intérêt à persévérer dans cette impasse. Les démarches doivent être collectives et unanimes.

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  21. Le rectorat s'est assis sur tous les rapports qui lui ont été soumis jusque là, à quoi bon 2-3 rapports de plus? Pour nous occuper, gagner du temps et du terrain? Il est naïf de penser que la solution passera par des rapports.

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  22. Les RH doivent faire le ménage.

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  23. Il paraît que les chefs de sites vont expliquer ou l'on déjà fait, le projet dans les grandes lignes (le nouveau,l'ancien, un intermédiaire ?).

    A Uni-Mail c'est Madame VHD ou on attend que le chef de site se remette de son malaise (long on dirait) ?

    Ou alors comme on nous marche déjà bien dessus, à quoi bon nous informer de quoi que ce soit.

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  24. Tout à fait d'accord avec le post de 14:37.
    Il faut réagir en formulant des plaintes précises, étayées par des rapports circonstanciés. C'est le seul moyen d'agir contre une hiérarchie problématique (c'est un euphémisme). De telles actions ont déjà abouti.

    Pleurer sur son sort n'avance à rien, même si l'expression de la souffrance fait parfois du bien. Arrêtons le refrain : tout va mal, mais il n'y a rien à faire. Agissons, ensemble.

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  25. Mon avis : ces points ont déjà été discutés et réglés dans la résolution du personnel du 31 mars (cf. http://bibliothecairesunige.blogspot.com/2011/04/resolution-du-personnel-des.html), notamment les 3 derniers points/puces.

    Vous voulez participer et vous retrouver (co-)responsable de cette débâcle? Libre à vous. Moi je ne ferai rien. Je me contente de voir toutes nos prédictions se réaliser (autre rappel http://bibliothecairesunige.blogspot.com/2011/05/il-y-une-annee.html).

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  26. Il faut consigner des faits, scrupuleusement. Pourquoi attendre qu'il y ait encore plus dégâts pour simplement pouvoir dire : je vous l'avais dit ? D'autant que ça peut durer encore longtemps, avec le soutien de deux bras gauche, un consultant, un expert, le prétexte d'une commission, etc.
    VHD n'a même pas encore pris conscience du problème. Il faut agir pour qu'elle parte et qu'elle laisse à nos bibliothèques l'occasion de se reconstruire sur des bases plus saines.
    Si on ne fait qu'observer, il faut renoncer aussi à se plaindre alors.

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  27. Au risque de mettre les pieds dans le plat, ce que demandait le commentaire qui a suscité ce débat, c'était des propositions de solution.

    Je ne comprends pas non plus cette histoire de rapport, puisqu'à Unimail les délégués ont très bien fait leur travail en faisant circuler un document où de nombreux faits étaient détaillés. Chaque personne à Unimail a pu s'exprimer (plaintes précises, rapports circonstanciés, etc.) Qu'attend-t-on réellement du personnel Unimail??

    La proposition de lettre me paraît une bonne idée, il faut s'engager aux côtés de nos délégués.

    Merci pour ce débat :)

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  28. DE LA MERDE CE BLOG!!!!!

    VOILA DES FONCTIONNAIRE TROP PAYER POUR CE QU'ILS FONT COMME BOULOT.......

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  29. Réaction au commentaire de 10:47
    Nous vous demandons d'utiliser un langage correct sur ce blog. Vous avez tout à fait le droit de vous exprimer mais sans insultes.
    Pour votre info, "fonctionnaire" ce n'est pas un métier.
    Les médiateurs

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  30. Encore une petite exclusivité en primeur sur Radio-Ragots: la rumeur circule que Monsieur Maillefer aurait prolongé son absence. A quand l'info officielle?

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  31. Que dire que du document sur la vision/mission de la Bibliothèque de l'Unige que personne n'a le courage de venir présenter à Unimail?

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  32. A la lecture de la fameuse Newsletter n°3, je commence à me dire que l'auteur du commentaire (15 septembre 2011 10:47) avait raison...

    Entre bulletin météo et pieux mensonges en passant par les "remontées des coordinateurs" (beurk), nous sommes dans de beaux draps.

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  33. Y aurait-il possibilité d'avoir la vision de "l'autre camp" sur tout ceci ? Afin de pouvoir obtenir une vision objective avec les deux parties représentées (tri-parties ?)

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  34. L'absence de cette vision est significative, non?

    Vous en trouverez quelques traces sur la page d'accueil du blog, qui recense rapports et coupures de presse où les 2 parties se sont exprimées.

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  35. Pour commencer à aborder l'autre vision, je conseille la lecture du commentaire de Madame Hadengue, directrice de tout ceci, dans la rubrique : http://bibliothecairesunige.blogspot.com/2011/04/la-direction-de-la-dis-menti-toute-la.html#comments

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